Une joueuse ukrainienne a refusé de serrer la main de son opposante biélorusse, provoquant les huées des gradins. Le lendemain, Novak Djokovic exprimait son soutien au Kosovo, victime de nouvelles violences. Les règles du tournoi de tennis interdisent tout avis politique, mais seul Djokovic semble risquer une sanction. Retour sur un casse-tête moral.