Alors que le général Nguema, chef de la garde présidentielle gabonaise, a prêté serment ce 4 septembre, cinq jours après avoir destitué le président Ali Bongo, les questions sur ce coup de force perdurent. Véritable putsch ou « révolution de palais », comme le clame l’opposition ? Quel rôle ont pu jouer les puissances occidentales ? Premiers éléments de réponse.