La décision de la Russie de suspendre sa participation à l’accord céréalier avec l’Ukraine, le rendant de facto inapplicable, a soulevé un tollé de protestations dans les chancelleries occidentales. Le Kremlin n’en démord pas et exige que tous les engagements contractés vis-à-vis de lui soient honorés avant que l’accord puisse être remis sur la table.