Il y a 50 ans jour pour jour, les « capitaines d’avril » renversaient pacifiquement la dictature éculée de Marcelo Caetano sur fond d’une interminable guerre de décolonisation. Au-delà de la question du retour festif de la démocratie dans ce pays, cet évènement doit s’analyser en considérant le sens particulier que revêt l’Histoire dans cette ancienne puissance maritime européenne.
La Chambre des représentants des États-Unis a dégagé une majorité pour voter 61 milliards pour l’Ukraine, 13 milliards pour Israël et 8 milliards pour Taïwan. Zelensky et Netanyahu se félicitent de cette décision qui financera, non sans arrière-pensées, leurs opérations militaires mais également le complexe militaro-industriel américain.
Est-on encore libre de s’exprimer en France où se heurte-on à diverses formes de censure dès lors que l’on critique le wokisme ou l’islamisme ? C’est l’interrogation que formulent chacun à leur façon les invités du premier Printemps de la liberté d’expression organisé au Palais des Congrès de Perpignan du 3 au 5 mai par le Centre Méditerranéen de Littérature. Une initiative salutaire qui rassemble Michel Onfray, Henri Guaino, Jean Sévillia, Georges Fenech, Boualem Sansal ou encore Alain de Benoist.
Après trois échecs référendaires, les indépendantistes kanaks, soutenus et encouragés par des puissances étrangères, tentent de s’opposer au dégel du corps électoral en Nouvelle-Calédonie. Un jusqu’au boutisme qui contrecarre la volonté de la majorité des Néo-Calédoniens, soucieux de perpétuer les liens tissés depuis 1853 dans le respect des traditions de cet archipel du Pacifique.
Peu connu des Français, le Président de la République serbe de Bosnie, interlocuteur privilégié de Vladimir Poutine et Viktor Orban, est venu plaidé la cause de son peuple auprès des pouvoirs publics français et rencontrer la diaspora. Il a pris le temps de venir converser avec la rédaction d’OMERTA pour faire le point sur la situation de l’ex-Yougoslavie.
Comme en 2023, le déficit budgétaire de la France en 2024 devrait dépasser les 5 % du PIB, alors que les règles européennes imposent en théorie une limite de 3 %. Un nouveau revers pour le ministre de l’Économie et finance Bruno Le Maire, en poste depuis près de sept ans mais aussi pour le président Emmanuel Macron.
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