C’est un projet de rupture politique radicale qui est porté au pouvoir à Dakar avec l’élection du plus jeune président qu’ait connu depuis son indépendance l’ancienne colonie française. Un scrutin qui s’est déroulé dans le calme et la sérénité, renvoyant une image de relative bonne santé de l’une des rares démocraties africaine.
Deux mois et demi avant le scrutin, les principaux partis politiques français (RN, Renaissance, PS, LR…) ont désigné leurs têtes de listes et finalisent la composition de ces dernières. Trouver des équilibres et recruter des têtes nouvelles mais connues des électeurs n’est pas toujours chose facile.
A l’initiative de Mohammed VI, le royaume chérifien a fait jouer ses bonnes relations diplomatiques avec l’État d’Israël pour livrer 40 tonnes d’aide humanitaire par voie terrestre dans la bande de Gaza, toujours sujette à une offensive israélienne sans précédent visant à détruire les infrastructures humaines et matérielle du Hamas en représailles de l’attaque terroriste du 7 octobre.
Lire c’est réagir : voilà qu’elle pourrait être la maxime présidant au recueil d’articles de l’un des rares écrivains incorrect de notre temps. Qu’il soit remercié des bon moments passés en compulsant sa galerie de portraits anciens et de croquis contemporains.
Sa candidature n’est pas une surprise, car elle bruissait ces derniers mois dans les milieux diplomatiques européens. Le président en exercice de la République de Roumanie, Klaus Iohannis, 64 ans, est candidat à la succession du norvégien Jens Stoltenberg comme secrétaire général de l’OTAN.
Le fils du fondateur de la France libre aura servi toute sa vie son pays comme militaire de premier plan au sein de la Marine nationale puis comme sénateur de Paris. Il s’est éteint le 13 mars à l’âge de 102 ans. Comme son père, il sera inhumé dans le cimetière de Colombey-les-Deux-Églises.
Le RN, principal parti d’opposition parlementaire français déplore l’agression de la Russie contre l’Ukraine tout en dénonçant l’instrumentalisation politique de ce conflit par Emmanuel Macron. Une ligne de crête qui réponde à l’hystérisation du débat par la majorité présidentielle.
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