La relative déconvenue de dimanche soir n’a pas empêché le Rassemblement national de former un groupe avec ses alliés européens dont le parti du Premier ministre Viktor Orban. Première délégation nationale de cette coalition des « Patriotes » par la taille, le RN s’est vu confié la présidence de la nouvelle structure.
Les élections législatives ont acté l’éparpillement de la représentation nationale, notamment du fait d’un scrutin uninominal à deux tours devenu obsolète. Le Rassemblement national est le premier parti de France mais n’a pu, cette fois encore, briser un « front républicain » qui contribue à enfoncer le pays dans un marasme politique néfaste.
Si depuis trente ans, les commémorations des principaux anniversaires du débarquement anglo-américain sur les côtes normandes sont orchestrées, et parfois instrumentalisées, par les Présidents...
Le parti politique de Jean-Luc Mélenchon est le réceptacle de plusieurs tendance du trotskisme français et international. Une situation qui interroge forcement sur l’appartenance de ce parti à l’extrême-gauche déniée par certains experts militants.
Le fort taux de participation (66,71 %) a confirmé la bonne forme de la coalition de droite menée par Jordan Bardella et le Rassemblement national. La déroute est presque complète pour le camp présidentiel en dehors de son bastion des Hauts-de-Seine et de l’Ouest parisien. La gauche retrouve des couleurs mais sans espoir de voir émerger un gouvernement du Nouveau Front Populaire.
La crise politique française n’a rien changé à la volonté des chefs d’États et de gouvernements de l’Union européenne de reconduire l’actuelle présidente de la Commission européenne. Le Président du Conseil européen sera un ancien Premier ministre socialiste portugais tandis que le diplomatie de l’UE sera confiée à une Estonienne très virulente contre la Russie.
Nouvelle ambassadeure du Maroc en France, Samira Sitail a explicité les priorités stratégiques eurafricaines de son pays lors d’une rencontre organisée à Paris par l’Institut français des relations internationales (IFRI). Il s’agissait d’une nouvelle preuve du dégel de la relation entre les deux pays, des personnalités appelant à une prise de position claire de la France sur la question du Sahara.
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