La tentative d'assassinat de Benjamin Netanyahu à son domicile, ce samedi 19 octobre, et les bombardements israéliens sur l'aéroport international de Beyrouth le dimanche suivant, sont témoins de l'accentuation du conflit entre les deux pays. Même si les attaques contre le Liban ont fait de l'ombre à celles de Gaza, cette dernière est toujours visée.
Ce dimanche 20 octobre, des dizaines de milliers de manifestants pro-européens se sont réunis à Tbilissi en Géorgie. Un rassemblement à une semaine d’élections législatives qui verront s’affronter les partisans de Bruxelles et les anti-Europe.
Mise en ballotage, la présidente libérale moldave sortante, Maia Sandu, pense camoufler son revers électoral en dénonçant des ingérences russes, alors que le résultat du référendum sur l’adhésion du pays à l’Union européenne a failli être négatif. La situation de cet État, encombrant héritage de l’URSS, est pourtant beaucoup plus complexe qu’une lecture géopolitique binaire voudrait le faire croire.
Emmanuel Macron se retrouve au centre d'une polémique après des propos rapportés lors du conseil des ministres, évoquant la création de l'État d'Israël par une décision de l'ONU. Une déclaration qui a provoqué une vive réaction de Benjamin Netanyahu, Premier ministre israélien. Le président français a dû s'expliquer ce jeudi 17 octobre, en dénonçant à la fois la diffusion de ses propos et la manière dont ils ont été interprétés.
Une élimination pour quoi faire ? La mort du responsable des attaques meurtrières du 7 octobre 2023 va-t-elle constituer pour Israël et les autres parties au conflit du Proche-Orient une occasion de saisir la possibilité de faire la paix et de rétablir un équilibre, même précaire, dans la région ?
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