La tentative de putsch du général Abdourahmane Tchiani tourne en la faveur de ce dernier. En deux jours seulement, le chef de la garde présidentielle s’est emparé du pouvoir sans rencontrer la moindre résistance. L’absence de réaction face à la rébellion de la garde présidentielle à Niamey est révélatrice de la fragilité politique des pays du Sahel. Une situation dont Moscou a su tirer parti aux dépens de Paris.
Cinq pays de l’Union européenne souhaitent proroger la protection de leur marché intérieur jusqu’au 1er janvier prochain. La Slovaquie, la Pologne, la Hongrie, la Roumanie et la Bulgarie souhaitent proroger les restrictions sur les importations de céréales ukrainiennes jusqu’au 1er janvier prochain. Après le retrait de la Russie de l’accord sur les exportations céréalières et le blocus maritime déployé autour du port d’Odessa, ces cinq pays craignent un reflux massif des exportations agricoles ukrainiennes à destination de l’Europe. Un tel mouvement commercial mettrait en danger les systèmes agricoles des États susmentionnés.
Pour son premier livre "Pourquoi me persécutes-tu ? Chroniques d’un orient martyr" édité par La Nouvelle librairie, Charles de Meyer nous livre un témoignage poignant sur la condition des chrétiens d’orient. Président et co-fondateur de SOS Chrétiens d’Orient, association humanitaire qui œuvre en faveur des communautés chrétiennes d’orient, l’auteur est un fin connaisseur des réalités de ce monde et ses peuples, qu’il a pu observer et côtoyer au travers de ses nombreux voyages en terre d’orient pour le bien de sa mission. Dans cet ouvrage, il a décidé de rassembler l’ensemble de ses chroniques parues dans Politique Magazine.
C’est au cœur d’un quartier populaire de Bruxelles que le roi des Belges et son épouse Mathilde ont tenu à débuter les célébrations de la fête nationale de leur pays. Discrète mais plébiscitée, la monarchie belge a su maintenir l’unité du pays deux siècles durant. Dans cette mission, le roi Philippe accomplit son devoir avec beaucoup de dignité
La décision de la Russie de suspendre sa participation à l’accord céréalier avec l’Ukraine, le rendant de facto inapplicable, a soulevé un tollé de protestations dans les chancelleries occidentales. Le Kremlin n’en démord pas et exige que tous les engagements contractés vis-à-vis de lui soient honorés avant que l’accord puisse être remis sur la table.
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