Les évènements du 24 juin dernier en Russie ont montré à quel point la stabilité de ce pays était cruciale pour l’équilibre du monde. Une tentative d’insurrection armée du groupe Wagner a semé la panique dans les capitales occidentales catastrophées à l’idée que l’arme nucléaire russe puisse tomber entre de mauvaises mains ou que des conclusions hâtives puissent être tirées, les exposant à la vindicte de Vladimir Poutine.
Le candidat libéral-conservateur obtient une majorité absolue au parlement grec après les élections législatives ce dimanche, survolant la polémique engendrée par les nombreux morts à la suite d’un naufrage de migrants. En plus de la droite de libérale, plus de 12% des sièges reviendront même aux trois partis d’extrême droite.
Afin de punir le Kremlin, l’Occident a misé sur la stratégie d’isolement diplomatique et économique de la Russie. Mauvais calcul ou manque de moyens, le pays de Vladimir Poutine attire de plus en plus aussi bien en tant que partenaire qu’en tant que lieu de vie.
En déplacement à Londres pour une réunion sur la reconstruction de l’Ukraine, le Premier ministre ukrainien Denys Chmyhal a reconnu les difficultés auxquelles sont confrontées ses armées. La contre-offensive patine, mais Kiev tient à rester « optimiste ».
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