L’ancien Premier ministre, qui préside l’association Agir pour la Paix avec les chrétiens d’Orient, a publié hier un communiqué sur les réseaux sociaux pour s’inquiéter de l’évolution de la situation au Liban qui menace selon lui l’avenir même de ce pays multiconfessionnel construit historiquement autour de la communauté chrétienne maronite. Cet appel revêt une solennité certaine alors que l’armée israélienne a débuté ses incursions au sud-Liban visant les positions du Hezbollah.
Hassan Nasrallah, le leader du Hezbollah, mouvement politico-militaire chiite libanais, est mort ce vendredi 27 septembre, dans les bombardements israéliens sur la banlieue sud de Beyrouth. L’annonce de sa disparition est vécue comme une libération pour certains, est vécu comme un véritable drame pour de nombreux Libanais, notamment dans le Sud Liban ou à Dahieh.
Régis Le Sommier revient pour OMERTA sur les faiblesses de l'organisation chiite libanaise qui ont permis à Israël d'accumuler les informations nécessaires à la destruction de la chaîne de commandement du Hezbollah.
La stupéfaction règne toujours au Liban après l'élimination le 27 septembre du principal dirigeant chiite qui dirigeait depuis 1992 le Hezbollah, parti politique et organisation militaire soutenue par la Syrie et l'Iran. Les bombardements israéliens ciblés contre les positions du Hezbollah se sont poursuivis tout le weekend, n'épargnant pas les civils.
La rencontre entre Donald Trump et Volodymyr Zelensky a finalement eu lieu vendredi 27 septembre, à New York. Un entretien qui a bien failli être annulé, alors que le président ukrainien, en visite aux États-Unis, s’était attiré les foudres de l’ex-locataire de la Maison-Blanche en critiquant le camp républicain.
Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web. Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait.OKPolitique de confidentialité