Sur fond de guerre en Ukraine et d’élections au Parlement européen au mois de juin, l’année politique et géopolitique s’annonce passionnante à suivre sur le Vieux continent même si ce dernier est plus que jamais traversé de doutes et d’incertitudes sur son avenir. OMERTA poursuivra son travail d’investigation, d’information et d’analyse sur le sujet.
Emmanuel Macron a beaucoup de mal à tenir une ligne à l’international. Le chef de l’État accumule les déclarations contradictoires concernant le conflit au Proche-Orient. À croire qu’il confond le « en même temps » cher à sa communication et la position d’équilibre traditionnel de la France.
L’Ukraine a disparu des radars face au conflit entre Israël et le Hamas. De plus, les espoirs ukrainiens de reconquête des territoires perdus depuis février 2022 semblent irréalistes. De guerre lasse, pour les soutiens de Kiev, un mot tabou commence à circuler avec insistance : négociations de paix.
Quelle réponse apporter à la délinquance endémique qui ronge la société française ? Et si la réponse à cette lancinante question venait de l’île de Beauté ? C’est en tout cas ce que suggère Olivier Battistini, maître de conférences émérite en histoire grecque à l’université de Corse, dans cette tribune en forme de cri du cœur.
Deux semaines auparavant, durant quelques nuits d’horreur, des émeutes ont essaimé dans de nombreux quartiers "populaires". Si l’ensemble du territoire national fut concerné, seule la Corse est restée préservée. Retour sur un paradoxe.
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