Samedi et dimanche dernier s’est tenu le « weekend international de l’antifascisme ». Le point culminant de cette évènement fut la manifestation de dimanche pour commémorer la mort de Clément Méric, militant antifasciste mort lors d’une rixe. La tenue de cette évènement, sa couverture médiatique et le dispositif de police déployé pour encadrer la manifestation démontre la différence de traitement entre les deux extrêmes.
Le ministre chargé des Comptes publics dévoile au Parisien un nouveau plan de lutte contre la fraude sociale moins d’un mois après celui, vivement critiqué, sur la fraude fiscale. Sur fond d’estimations très basses de l’ampleur réelle du problème, les mesures peinent à convaincre.
Alors que devait se dérouler, dimanche dernier, un colloque, organisé par l’Institut Iliade, en hommage à l’écrivain et intellectuel Dominique Venner, pour les dix ans de sa mort la préfecture de police de Paris sur ordre du ministre de l’Intérieur a décrété l’interdiction de l’évènement par arrêté préfectoral
Depuis 2016 et les manifestations « nuits debout » contre la loi El Khomri, on a vu se multiplier les comportements violents de petits groupes d’activistes. Le phénomène a pris une ampleur telle que le parlement a décidé de se saisir du sujet.
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