Qualifié de pro-russe et d’antivax par ses opposants, l’ancien ministre Herbert Kickl a su mener à la victoire le parti de la droite populiste autrichienne qui frôle les 30 %, un niveau auquel on ne l’attendait pas et qui réjouit ses alliés souverainistes en Europe.
La charge est venue du député RN de la Somme Jean-Philippe Tanguy sur les ondes d’Europe 1 : « J’alerte ceux qui nous écoutent. Bruno Retailleau, a toujours trahi, dans ses actes, ses familles politiques. Il a toujours été planqué dans les moments difficiles politiquement. » Bruno Retailleau, jusqu’alors président du groupe LR au Sénat, est enfin devenu ministre à 63 ans : il détient désormais les clefs du puissant ministère de l’Intérieur où il succède à Gérald Darmanin.
Le nouveau ministre délégué en charge de l’Europe est loin d’être un inconnu pour les observateurs de la scène politique internationale. Atlantiste revendiqué, le jeune député macroniste du XVIe arrondissement a été salarié à Washington d‘un think tank libéral américain, l’Atlantic Council.
Depuis le samedi 21 septembre, les Français découvrent les membres du nouveau gouvernement dirigé par Michel Barnier. Parmi ces figures : Othman Nasrou, membre des Républicains, nommé secrétaire d’État à la Citoyenneté et à la Lutte contre les discriminations. Encore peu connu sur la scène politique, qui est ce nouveau visage au sein du gouvernement ?
Héritier d’une dynastie de parlementaires démocrate-chrétiens, le nouvel occupant du Quai d’Orsay, comme ministre de l’Europe et des Affaires étrangères, apparaît comme très lié aux intérêts atlantistes et à la mainmise stratégique des États-Unis sur le Vieux continent. Retour sur une ascension assez fulgurante mais somme toute logique.
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