Le parti politique de Jean-Luc Mélenchon est le réceptacle de plusieurs tendance du trotskisme français et international. Une situation qui interroge forcement sur l’appartenance de ce parti à l’extrême-gauche déniée par certains experts militants.
Le fort taux de participation (66,71 %) a confirmé la bonne forme de la coalition de droite menée par Jordan Bardella et le Rassemblement national. La déroute est presque complète pour le camp présidentiel en dehors de son bastion des Hauts-de-Seine et de l’Ouest parisien. La gauche retrouve des couleurs mais sans espoir de voir émerger un gouvernement du Nouveau Front Populaire.
La crise politique française n’a rien changé à la volonté des chefs d’États et de gouvernements de l’Union européenne de reconduire l’actuelle présidente de la Commission européenne. Le Président du Conseil européen sera un ancien Premier ministre socialiste portugais tandis que le diplomatie de l’UE sera confiée à une Estonienne très virulente contre la Russie.
Détenteur depuis 2017 de trois des quatre circonscriptions législatives de l’île, le camp autonomiste ne cache plus ses divisions. Le plan d’autonomie proposé par Gérald Darmanin pour le compte d’Emmanuel Macron est pour l’instant enterré suite à la dissolution de l’Assemblée nationale.
Régis Le Sommier décrypte pour OMERTA la présence de Philippe Poutou, cadre trotskiste du NPA sur les listes du Nouveau Front Populaire pour les élections législatives.
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