Alors que la motion de destitution du président sud-coréen, Yoon Suk-yeol, n’a pu être votée le samedi 7 décembre faute de quorum, le Premier ministre, Han Duck-soo, gère désormais les affaires du pays. De son côté, l’opposition dénonce “un deuxième coup d’État”. Plus que jamais, le pouvoir en place est en difficulté. Dimanche 8 décembre, le ministre de l’Intérieur, Lee Sang-min a annoncé sa démission.