Paris s’entête. Malgré les réticences des grandes puissances économiques, la France défend bec et ongles l’instauration d’une taxation mondiale des ultra-riches. Une position qui l’oppose frontalement aux États-Unis et divise même au sein de l’Hexagone, où le gouvernement refuse d’appliquer un impôt similaire sur son propre sol. L’objectif est pourtant clair : harmoniser la fiscalité…