« On ne se réjouit pas de la mort de quelqu’un ». C’était ce qu’avait dit à ses hommes un officier de la Légion étrangère lors d’un de mes reportages au Sahel après qu’ils eurent abattu deux combattants de Daech lors d’un accrochage.
Enterrement de deux djihadistes par des légionnaires français et des FAMas de l'armée régulière malienne. © Régis Le Sommier