Suite à l’interpellation le 7 novembre de deux gendarmes français à Jérusalem-Est en marge d’un déplacement ministériel de Jean-Noël Barrot, l’ambassadeur d’Israël à Paris a été convoqué ce mardi 12 novembre par les autorités diplomatiques françaises.
La riposte aux frappes iraniennes du 1er octobre a donc été « mesurée », « calibrée », « précise », nous dit-on. On peut d’abord noter qu’elle obéit au souhait exprimé par les Américains de ne frapper ni les installations nucléaires, ni les complexes et terminaux pétroliers. Fait notoire : Israël a averti l’Iran avant l’attaque. Certaines cibles ont même être données à l’avance
Emmanuel Macron a organisé une conférence internationale pour le Liban jeudi 24 octobre. La veille, Benyamin Netanyahou accusait la France d'avoir changé de camp et de l'avoir "extrêmement déçu". Le chef de l'État français a profité de cette conférence pour répondre aux propos du président israélien et pour débloquer une aide colossale pour les Libanais.
La tentative d'assassinat de Benjamin Netanyahu à son domicile, ce samedi 19 octobre, et les bombardements israéliens sur l'aéroport international de Beyrouth le dimanche suivant, sont témoins de l'accentuation du conflit entre les deux pays. Même si les attaques contre le Liban ont fait de l'ombre à celles de Gaza, cette dernière est toujours visée.
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