Sans guère de logique apparente, la France a annoncé qu’elle allait livrer des armes à l’Arménie, tout en continuant à fournir militairement l’Ukraine, allié de l’Azerbaïdjan. Plusieurs médias ukrainiens ont même salué l’intervention de Bakou contre le Haut-Karabagh.
À l’occasion de la visite du président ukrainien Volodymyr Zelensky vendredi 22 septembre, le parlement canadien a ovationné un ancien soldat nazi, ex-membre de la 14e division de grenadiers de la Waffen-SS. Une séquence largement commentée sur les réseaux sociaux, obligeant le président de la Chambre des communes canadienne à s’excuser.
Vilipendé pour avoir estimé qu’il fallait trouver une sortie de crise négociée dans la guerre en Ukraine, Nicolas Sarkozy dit pourtant tout haut ce qui se murmure de plus en plus dans les chancelleries occidentales. Face à l’impasse sur le terrain, la diplomatie devrait retrouver ses droits.
Et si l’escalade de la guerre russo-ukrainienne se produisait en mer plutôt que sur terre ? La mer Noire, nœud de communications vital pour Moscou, est actuellement le théâtre d’attaques de plus en plus vives de la part de Kiev, qui cible désormais des navires civils. Des opérations sans intérêt militaire pour Kiev, mais stratégiques pour les Occidentaux. Analyse.
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