La crise politique française n’a rien changé à la volonté des chefs d’États et de gouvernements de l’Union européenne de reconduire l’actuelle présidente de la Commission européenne. Le Président du Conseil européen sera un ancien Premier ministre socialiste portugais tandis que le diplomatie de l’UE sera confiée à une Estonienne très virulente contre la Russie.
Notre directeur de la rédaction, Régis Le Sommier remet en perspective le scrutin de dimanche et livre ses impressions sur une élection qui se déroule sur fond de conflit en Ukraine et de fracturation des populations vivant sur le sol français.
Le Premier ministre hongrois a dîné en tête à tête avec le Président de la République Emmanuel Macron le jeudi 7 décembre. Cette rencontre était un préalable à la réunion du Conseil européen à Bruxelles qui s’annonce complexe.
Sans guère de logique apparente, la France a annoncé qu’elle allait livrer des armes à l’Arménie, tout en continuant à fournir militairement l’Ukraine, allié de l’Azerbaïdjan. Plusieurs médias ukrainiens ont même salué l’intervention de Bakou contre le Haut-Karabagh.
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